Dakar a abrité une rencontre des doctorantes et post-doctorantes venant de 15 pays d’Afrique . Elles ont participé au programme « Pour les femmes et la Science » lancé par la fondation L’Oréal et l’Unesco.
A lire aussi : Le Sénégal pleure Colette Senghor, la toute Première Dame de son histoire
La recherche d’une politique efficace devant promouvoir l’optimisation des recherches scientifiques ne laisse pas indifférente les femmes africaines. Même si le domaine de la science reste un chemin parsemé d’embûches, les femmes scientifiques du continent s’organisent pour valoriser les recherches.
Il faut reconnaître que la notion de genre crée une véritable cacophonie conceptuelle. En ce sens que le genre est un concept utilisé en sciences sociales pour désigner les différences biologiques entre les hommes et les femmes. #RTT #kebetu pic.twitter.com/BzADohROhT
— Ousseynou NIANG (RTT)??@nianganabe (@nianganabe) November 21, 2019
Pour La Sénégalaise Najah Fatou Coly, pharmacienne biologiste, « ce rendez-vous est encourageant, ça montre que les femmes commencent à se mettre dans la science. Les thématiques qui sont étudiées par les différentes lauréates sont d’actualité, et elles essaient de régler des problèmes de santé publique, des problèmes par rapport à l’environnement. »
Dans le milieu de la science, on comptait l’année dernière 2,4 % de scientifiques africains parmi les chercheurs dans le monde. Dont à peine 30 % étaient des femmes et ces dernières sont souvent confrontées aux préjugés mais aussi au manque de moyens.
Commentaires