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Beyoncé : l’icône qui booste la créativité africaine

Beyoncé : l’icône qui booste la créativité africaine

Saliou DIOP par Saliou DIOP
il y a 2 mois
dans Lifestyle
Temps de lecture :2 mins read
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Beyoncé a associé divers artistes africains à ses projets et les a souvent mis en valeur face au public international. Avant Black is King, on peut citer la poésie de Warsan Shire, originaire du Kenya, dans l’album Lemonade, une citation de la romancière nigériane Chimamanda Ngozi Adichie dans Flawless (2013) et une chorégraphie de Tofo Tofo, qui est un groupe de danse basé au Mozambique, dans la vidéo de « Run the World (Girls) ».

Black Is King, l’album précédent de Beyoncé, fut une célébration des traditions africaines avec une touche moderne. Dans cet album visuel, elle y a adopté une optique d’inspiration panafricaine et intégré des éléments provenant de plusieurs pays africains. Elle s’est associé à divers acteurs, réalisateurs, designers, chorégraphes et musiciens africains, mettant ainsi en lumière la diversité culturelle du continent.

Bien que les cultures du continent africain ne soient pas aussi présentes que sur Black is King, Beyoncé a également fait appel à des artistes africains sur son dernier album Renaissance, notamment sur la chanson « Move », dont le style s’inspire des Afrobeats et sur laquelle figurent P2J (Nigeria) et GuiltyBeatz (Ghana) en tant que producteurs, ainsi que Tems en tant qu’autrice et interprète.

Dans Renaissance, Beyoncé intègre avec succès des genres musicaux tels que la pop, la house électronique, l’afrobeats, la trap et la soul, pour n’en citer que quelques-uns, en combinaison avec diverses influences disco. Les paroles de l’album dépeignent un sentiment général d’amour de soi et de fierté. Une référence à la musique de l’une des artistes pop les plus importantes d’Afrique du Sud et du continent, Brenda Fassie (1964-2004).

Les artistes noirs et africains n’ont pas attendu que l’artiste les mette en avant, cependant, on ne peut nier le rôle déterminant que Beyoncé a joué dans le rayonnement d’éléments issus du continent dans la culture populaire mondiale, grâce à son statut de star internationale.

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Avec sa voix et sa guitare, la Sénégalaise Kya Loum s’est fait remarquer depuis près d’une décennie. L’ancienne lauréate du concours international Music Explorer a peaufiné son répertoire et son identité musicale avant de sortir son premier album intitulé Niit, qui évolue entre trois axes : afro-blues, afro-soul et afro-jazz. Il y a quelques années, de passage à Berlin en Allemagne où elle devait se produire pour l’une de ses premières dates sur le circuit international, Kya Loum s’est mise à chanter dans la rue. Et dans le froid. Une personne approche, vient lui parler. "Elle m’a dit qu’elle était malade, mais que m’écouter faisait partie des rares moments où elle ne ressentait plus la douleur", se souvient la trentenaire sénégalaise. L’expérience sert de révélateur : "Si quelqu’un ressent ça quand je chante, c’est gagné. C’est ce que je veux faire tout le temps", réalise-t-elle. De retour dans son pays, elle prend sa guitare, son ampli et part au marché Kermel de Dakar, jouer pour ceux "qui passent leur journée à travailler et n’ont pas le temps ni les moyens d’aller voir un vrai show". Son style ? "Je l’ai longtemps cherché", reconnaît en riant celle qui se dit "amoureuse de la vieille musique" et cite volontiers la Sud-Africaine Miriam Makeka, l’Américaine Aretha Franklin ou sa compatriote Aminata Fall parmi ses références. Pour évoquer ses chansons et la façon dont elle les conçoit, la jeune femme a recours à une métaphore culinaire : "Le riz blanc, c’est la base et on l’accompagne d’une sauce. Pour moi, la base, c’est l’afro. Après, j’ai le choix entre mettre une sauce blues, une sauce un peu rock, ou un peu orientale. Mais je garde mon riz blanc : c’est mon africanité !" analyse-t-elle. Son premier album Niit, qui signifie "mettre en lumière" en wolof, répond à ces principes artistiques, avec l’envie de "mener des combats sans pour autant heurter les gens, mais en touchant leur sensibilité". Il en résulte des textes imprégnés de valeurs sur l’amitié (Waay), la différence (Wouté), la transmission filiale (Kaay Ré) ou qui interrogent ses actions et ses choix (Niit). Registre acoustique Parce que "la culture africaine ne permet pas de tenir tête aux parents”, Kya Loum a trouvé très tôt dans la musique le moyen de s’exprimer. Quand sa mère quitte le quartier dakarois de Gueule tapée où réside la famille et part vivre en Mauritanie, elle se débrouille pour lui faire parvenir une cassette sur laquelle a réenregistré une chanson lui demandant de revenir. Et la démarche porte ses fruits ! Avec le temps, elle a appris à résister à l’envie de trop en faire avec sa voix, puissante, mais qui sait aussi s’inscrire dans la douceur. Dans ce registre acoustique dont elle dit qu’il lui ressemble, la guitare occupe une place majeure. C’est au lendemain du premier concours auquel elle avait participé à 15 ans – une téléréalité nommée Talents cachés où elle avait fini à la deuxième place – qu’elle a compris la nécessité de pouvoir s’accompagner elle-même. Pour retrouver les notes qu’elle avait en tête et dont ses partenaires musiciens successifs ne parvenaient pas à accoucher. Un passage à l’École nationale des arts de Dakar lui donne l’occasion de mieux maîtriser ce langage. "Je voulais des bases, mais je ne voulais pas être une élève", explique-t-elle pour justifier l’arrêt de son cursus après deux années. Lorsqu’elle remporte en 2014 la première édition du concours international Music Explorer, diffusée sur la chaîne télé française France Ô, la Sénégalaise imagine légitimement avoir franchi un palier. Mais les choses ne se passent pas comme prévu, et l’album qui devait découler de cette victoire ne voit pas le jour. Philosophe, Kya Loum sait que l’aventure lui a tout de même ouvert des portes pour jouer régulièrement en Europe et donné une précieuse visibilité : en 2017, dans le cadre de son Total World Tour iconoclaste (187 pays !) et caritatif au cours duquel elle a multiplié et mis en ligne les collaborations avec des artistes locaux, la soulwoman Joss Stone lui a proposé un duo ; ensemble, elles ont interprété Sama Lamp, que la Dakaroise avait sorti trois ans plus tôt. De quoi rassurer Rokhaya – son prénom à l’état civil – tant sur ses qualités que son potentiel. En neuf chansons et trente minutes, Niit le confirme aujourd’hui. En menant à terme le projet, non seulement son autrice a vaincu son aversion pour le travail en studio, mais elle en a découvert "la beauté". Et pris conscience des perspectives qui s’ouvrent à elle.

Avec son nouvel album Niit, Kya Loum hausse la voix mais en douceur

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